Les actes de violence commis en période électorale ne sont pas sans conséquences pour leurs auteurs et leurs complices. Les sanctions prévues par la loi ont été communiquées, mercredi, par le procureur de la République près le tribunal de Première instance de Libreville, André Patrick Roponat.
Le droit de citoyen permet-il toutes les libertés, au point de ne plus avoir des limites, notamment en période électorale ? À cette question, la loi répond par la négative. Alors que des perturbations ont déjà été récemment enregistrées lors des meetings de précampagne de certains candidats de l’opposition, le procureur de la République près le tribunal de Première instance de Libreville, André Patrick Roponat, a dressé la liste des sanctions encourues par les auteurs et leurs complices.
Ces sanctions prévues par la loi varient de 1 an d’emprisonnement à la perpétuité, avec des amendes oscillant les 100 millions de FCFA.
