Investi par le Parti démocratique gabonais (PDG) dans la commune de Bitam, Jean-Yves Edou Ndong s’est présenté ce week-end aux populations de Bitam vivant à Libreville pour solliciter leur soutien pour les échéances à venir qu’il souhaite cohérentes.

Jean-Yves Edou Ndong (au milieu) face aux ressortissants de Bitam, le 22 juillet 2023 à Libreville. © Gabonreview

En lice pour briguer les quatre sièges du Ntem avec Charles Mve Ellah (ministre), Francis Ntolo Eya et David Ella Mintsa, le candidat Jean-Yves Edou Ndong s’est présenté le 22 juillet 2023 à la diaspora bitamoise de Libreville. Cette rencontre sous forme de prise de contact avait pour objectif de prendre les doléances des ressortissants de Bitam et de solliciter leurs soutiens pour les élections à venir.

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«J’ai fait 7 ans dernièrement au Woleu-Ntem en tant que directeur provincial des impôts. J’allais travailler à Oyem et je vivais à Bitam. Mais il y a une forte diaspora bitamoise à Libreville donc il était tout à fait important pour moi de me présenter à eux et de solliciter leurs soutiens pour les échéances à venir», a confié Jean-Yves Edou Ndong.

Selon le candidat à la députation, cette rencontre avait également pour objectif de présenter les élections générales 2023 et bien faire comprendre qu’il faut une cohérence dans le vote qui va s’exprimer. «Il faudrait choisir le PDG massivement et quand je dis le PDG, c’est-à-dire le candidat à la présidence du PDG, monsieur Ali Bongo Ondimba, le candidat à la députation monsieur Jean Yves Edou et la tête de liste Monsieur René Ndemezo’Obiang. Qu’il y ait une cohérence pour le vote exprimé», a-t-il indiqué.

Pour la plupart des habitants de Bitam, les problèmes sont connus de tous. Il s’agit notamment des problèmes de la route, des écoles, des hôpitaux, du chômage des jeunes, etc. « Les besoins sont généralement les mêmes, ils sont tous connus. Mais la seule chose qu’il faut à notre candidat, c’est la capacité à se mettre en œuvre. Il faut bouger les lignes», a exprimé un Bitamois. Le candidat du PDG a pris bonne note des préoccupations des uns et des autres, au moment venu, après son élection, il les fera monter à chaque département sectoriel, apprend-on.