Le lundi 07 août dernier, dans un communiqué conjoint Louis-Gaston Mayila, Bonaventure Nzigou Mamfoumbi, Séraphin Akure Davain, Joël Ngoueneni Ndzegouma et Laurent Angue Mezui ont clairement réfuté l’accusation selon laquelle les dernières modifications du Code électoral seraient faites avec l’aval de l’opposition lors de la concertation politique tenue du 13 au 23 février 2023.

En effet, ils estiment que ces dispositions n’existent nulle part dans le rapport des travaux de la concertation politique, et n’ont jamais fait l’objet de discussions au sein du comité de suivi.

« Nous constatons, pour le regretter, que des textes liés aux matières qui nous engagent ont été soumis et adoptés au Parlement sans l’avis du comité de suivi, en violation flagrante des dispositions du règlement intérieur dudit comité. Nous faisons constater que de telles décisions amènent naturellement à rompre le consensus qui a prévalu en février 2023 et constitue ainsi un sérieux obstacle à l’apaisement voulu par le président de la République, chef de l’État et toute la classe politique ». Déclare le communiqué.

Elzo Mvoula