La 27ᵉ édition de la coupe « Baby champion » se déroulera du 30 au 31 mars 2024 à Libreville

Le président de l’Association gabonaise de taekwondo et arts martiaux associés (AGATAMA), Jean Félix Ngomas, a, annoncé le weekend écoulé au terme d’une réunion technique avec les  responsables des clubs et associations, y compris  ceux  de la ligue de taekwondo de l’estuaire, que  la 27ᵉ édition de la compétition « Baby champion » une compétition dédiée aux enfants de 3 à 12 ans, se déroulera du 30 au 31 mars prochain au gymnase du prytanée militaire de Libreville.

« Nous avons mis en place un logo Baby Champion parce que « Baby Champion » ne sera plus seulement une compétition, mais sera un projet sociétal, un projet de société, un projet d’envergure dédié aux enfants », a expliqué M.Ngomas, annonçant par la suite la date de la tenue de la compétition qui commence par la pesée des jeunes athlètes le 29 mars.

Les frais d’inscriptions sont fixés à 2000 francs par coach et par athlète. Ces inscriptions débuteront le 1ᵉʳ mars pour s’achever le 16 mars à 18 heures, soit 2 semaines avant le début de la compétition. Au programme, des combats individuel et par équipe dans toutes les catégories (sans touche les enfants de 3 ans a 6 ans et avec touche de 7 ans a 12 ans) sur une durée de 1min30s par round.

Pour  Jean Félix Ngomas, l’objectif de cette compétition, « est d’emmener nos enfants à être de plus en plus aguerris dans la pratique de l’art martial. Et pourquoi pas pour les plus grands qui vont changer de catégorie, passer en catégorie cadets, faire en sorte que ces enfants soient vraiment au point pour constituer l’ossature de nos équipes nationales, pour que le Gabon devienne une nation des champions ».

Les clubs de l’intérieur du pays sont invités à manifester leur intention de participation comme l’a déjà fait l’Ogooué Maritime, le Moyen Ogooué et le Woleu Ntem.

Notons que la 26ᵉ édition qui s’est déroulée après 4ans d’arrêt faute de financement, a vu la participation de 250 enfants venus de 20 clubs de la capitale gabonaise.

Betines Makosso

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