Anges Kevin Nzigou, candidat aux élections législatives et locales pour son parti de l’opposition Pour le changement (PLC) au 2ème siège du 6ème arrondissement de la commune de Libreville, a lancé lundi une campagne de porte à porte pour mobiliser l’électorat.

Accompagné d’une forte délégation, l’opposant passe d’une maison à une autre pour toucher du doigt le quotidiens de ses futurs électeurs et entendre de leurs bouches les difficultés auxquels ils sont confrontés

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Partout où il passe, Anges Kevin Nzigou porte « un message de vérité ». Pas de fausses promesses mais une volonté commune de changer les choses pour que les politiques publiques se penchent véritablement sur la lutte contre la précarité.

«Ça nous permet de marquer notre considération pour leurs personne, ça nous permet aussi de leur faire comprendre que nous nous engageons en politique dans leurs intérêts. Nous nous engageons pour défendre leurs causes, nous nous engageons pour améliorer leurs conditions de vie. Et lorsque nous arrivons à discuter avec eux dans leurs espace de vie, c’est pour moi la meilleure façon de marquer notre intérêt à voir cette situation évoluer », a-t-il expliqué.

Il a tenu à les écouter, mais aussi à rappeler à chacun l’importance de prendre une part active à ces élections qui leur permettrons de voir leur arrondissement se développer.
« Nous avons l’occasion à travers cette élection de transformer la colère qu’ils ont, la résignation qu’ils ont, la désolation qu’ils ont en une force nécessaire et utile pour que le système Bongo PDG disparaisse de ce pays », a-t-il rêvé.

Un rapprochement qui a permis au candidat de remettre à main propre sa lettre de candidature dans laquelle il présente aux populations ce qu’il entend apporter comme changement dans cet arrondissement avec eux et pour eux.

Celui qui entend battre à plat de couture le candidat en lice dans cet arrondissement pour le compte du parti au pouvoir, poursuit sa campagne de séduction et de mobilisation de tous les citoyens du 2ème siège du 6ème arrondissement de la capitale.

Betines Makosso